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Des experts indépendants demandent un moratoire sur les injections à ARNm !

By 19 mai 20256 Comments

Le 29 avril dernier, l’association Les Enfants d’Hippocrate a organisé une conférence de presse à laquelle je me suis rendu.

Le thème de cet événement était : “Alerte sanitaire sur les vaccins ARNm contre la Covid-19.”

Cette association est présidée par Martin Loisillon, qui est à la fois un artiste et un citoyen engagé.

Le secrétaire général de l’association est le Dr Louis Fouché, réanimateur et anesthésiste.

Le but de cette association est notamment de promouvoir les traitements sûrs et efficaces.

Je tiens à préciser ici que l’association Les Enfants d’Hippocrate n’a pas de lien direct avec la Fondation Hippocrate.

Mais nos deux organismes poursuivent des buts similaires.

Je vous en retranscris ci-dessous les grandes lignes.

Vous retrouverez la retransmission complète de l’événement ici. La conférence de presse a été filmée et rediffusée par le média indépendant Kairos.

Vous retrouverez ici tous les documents qui ont été distribués aux participants. Vous y trouverez toutes les références scientifiques sur lesquelles s’appuient ces experts.

enfants d'hippocrate conf de presse
enfants d’hippocrate conf de presse

Un moratoire demandé sur les vaccins ARNm par l’association Les Enfants d’Hippocrate

D’après les experts réunis par l’association, les données existantes à ce jour devraient être suffisantes pour que ces produits soient retirés du marché.

Plus précisément, l’association demande aux autorités sanitaires européennes et nationales :

“Le retrait immédiat du marché des produits à ARNm, chez l’humain et l’animal ;

Un moratoire sur la recherche clinique sur les ARNm ;

L’étude exhaustive et indépendante de ces produits ;

La reconnaissance et la prise en charge financière, psychologique et médicale des victimes des injections contre la Covid-19 et des syndromes post- Covid ;

Une information exhaustive aux soignants et au public sur cette thématique ;

La mise en place de filières de recherche clinique et fondamentale, et de soins, susceptibles d’améliorer le diagnostic et les traitements des victimes d’effets indésirables des injections Covid et des victimes de Covid long ;

Le développement et l’accès au dosage diagnostic de la protéine Spike vaccinale et virale.”

Maintenir le dialogue avec les autorités

Martin Loisillon a commencé par expliquer que son association avait tenté d’alerter les autorités de santé pour leur expliquer à quel point les vaccins ARNm étaient problématiques.

Le président de l’association explique qu’ils ont contacté les différents ordres des médecins départementaux pour échanger sur le sujet avec eux.

Dans un premier temps, quelques portes se sont ouvertes. Certains médecins des ordres départementaux étaient prêts à discuter de la situation actuelle.

Mais, à un moment donné, l’Ordre national des médecins a décidé d’arrêter toutes ces discussions.

Et à chaque nouvelle sollicitation, l’association a reçu une lettre type.

Malgré cela, Martin Loisillon et Louis Fouché restent persuadés qu’il faut continuer à rechercher le dialogue.

Car, derrière les institutions, il y a des hommes et des femmes qui ont une conscience.

Et petit à petit, en discutant, en publiant des données et en menant des actions judiciaires, la vérité va sortir.

Des vaccins produits trop vite et sans respect des procédures habituelles de fabrication

Pour les experts présents à la conférence de presse, il est important que les autorités prennent la mesure du danger que ces nouveaux vaccins font courir à la population.

Pour eux, l’idée que cette nouvelle technologie puisse remplacer les anciens vaccins représente une menace potentielle qu’il faut faire cesser afin d’en faire une évaluation exhaustive et objective, sans conflits d’interets.

Ils estiment que ces vaccins ont été autorisés trop vite, sans que toutes les procédures habituelles n’aient été respectées.

Les vaccins ARNm seraient à risque ou en touit cas mal évalués et mériteraient pour l’heure d’être retirés du marché.

D’autres organismes indépendants sont arrivés aux mêmes conclusions, telle que la Fondation McCullough.

Dans certains États américains, comme l’Idaho, le Kentucky ou le Montana, les vaccins à ARNm de Pfizer et Moderna ont été retirés du marché.

Et l’obligation vaccinale a été supprimée aux États-Unis.

Voyons plus précisément ce que chacun des experts avait à dire.

Dr Claude Escarguel

Chercheur en biologie humaine, il a travaillé avec les plus grands noms de la recherche médicale française, notamment le Pr Luc Montagnier et le Pr Didier Raoult.

Il a également été entrepreneur. Il a créé deux sociétés de biotechnologies. Il a participé à la création de nouveaux vaccins.

Dès le début de la crise sanitaire, il a travaillé sur des traitements contre la Covid-19.

Il connaît très bien le sujet.

Lors de la conférence de presse, il rappelle ce que le Pr Montagnier avait déjà suggéré dans ses interventions :

1/ Le virus n’est pas d’origine animale mais artificielle : il aurait été fabriqué dans un laboratoire et relâché dans la nature ;

2/ Des gains de fonction ont été ajoutés à ce virus ; cela veut dire que l’on a ajouté des séquences génétiques au génome du virus pour lui donner de nouvelles capacités ;

Le virus aurait par exemple gagné un effet “bactériophage-like”. Cela veut dire qu’il aurait eu un effet semblable aux virus bactériophages dont la caractéristique est de détruire les bactéries.

Ici, le virus attaquerait les bactéries en détruisant leurs parois. Ces bactéries accueillent alors le virus, qui peut se multiplier. Ce faisant, ces virus libèrent des toxines.

Et ces dernières provoquent le syndrome respiratoire aigu.

Les personnes obèses ou touchées par le diabète de type II ont des cellules plus fragiles que les autres. À cause de cela, elles ont été davantage exposées à ces toxines.

À la fin de son intervention, le Dr Escarguel explique qu’un moratoire sur les vaccins ARNm ne serait pas un problème, car on dispose aujourd’hui de tous les traitements nécessaires pour traiter la Covid-19.

Pour lui, l’association Azithromycine/Zinc est très efficace contre la Covid. Elle serait également bénéfique contre la grippe.

Pr Christian Perronne

C’est un médecin très connu pour ses critiques à l’égard de la gestion de la crise sanitaire par les gouvernements du Président Macron.

Et ses prises de position sont d’autant plus écoutées qu’il s’agit d’un médecin du système. Il a été chef du département de Médecine au CHU Raymond-Poincaré de Garches (92) et a apporté son expertise à de très nombreuses institutions sanitaires comme :

  • le Collège français des professeurs des maladies infectieuses et tropicales, dont il a été président ;
  • le Comité technique des vaccinations ;
  • l’Agence nationale de sécurité du médicament ;
  • le Haut Conseil de la santé publique ;
  • l’INSERM.
  • l’OMS en tanrt que membre, puis vice-président, du groupe consultatif européen d’experts sur la vaccination (ETAGE),

Et je ne cite que les plus connues.

Lors de la conférence de presse, sa première observation est que tout le développement de ces vaccins ARNm s’est fait de manière “totalement illégale”.

Une grande partie des études qui auraient dû être réalisées ne l’ont jamais été.

Une partie des résultats obtenus a été cachée.

Ces produits n’auraient jamais dû obtenir les autorisations requises pour faire les études précliniques chez les êtres humains.

Il y a bien eu des tests chez le rat. Mais une seule espèce a été utilisée, là où, en temps normal, il en faut au moins deux différentes.

Les femelles rats testées ont connu des anomalies très graves, notamment au niveau squelettique. Ces femelles ont connu des avortements spontanés. Mais ces résultats ont été cachés.

Dans les rapports, ces faits ont été notés mais considérés comme non importants.

Les études chez les femmes enceintes ont été arrêtées très vite en raison du nombre d’avortements spontanés qu’il y avait.

Pour Christian Perronne, toutes les données concernant les méfaits de ces vaccins ARNm sont là.

Mais les médias classiques n’en parlent pas.

Pour lui, mettre en place un moratoire sur cette technologie est impératif.

Il estime que le fait d’avoir imposé aux populations ces produits expérimentaux est “tout de même criminel”.

Les vaccins à ARNm produisent de nombreux effets indésirables, des turbocancers et diverses pathologies.

Il rappelle que la protéine Spike, qui est néfaste pour l’organisme, peut encore être présente chez les patients durant 700 jours après l’injection !

Cette technologie n’est pas du tout maîtrisée. Il faut refuser le passeport européen. Et il faut refuser les vaccinations par spray, qui sont en développement à l’heure actuelle et qui pourraient aboutir à ce que les gens se trouvent vaccinés sans même s’en rendre compte.

Le consentement des patients n’existe plus.

Dr Hélène Banoun

Elle est pharmacien logisticien et docteur d’État en sciences pharmaceutiques. Elle a été interne des hôpitaux de Paris et chercheuse à l’INSERM. Elle est l’auteure de nombreuses publications scientifiques.

Elle explique qu’avec l’ARNm, le principe de la vaccination change.

Ce n’est plus une partie du virus ou le virus atténué que l’on inocule, mais une partie de son génome.

Dès lors, c’est le patient qui fabrique le produit.

C’est lui, notamment, qui fabrique la protéine Spike. Et elle reste dans son corps. Ce mode de fonctionnement rappelle ce qui s’est passé avec la vache folle.

Les fonctionnaires qui ont fait leur travail au moment de la mise sur le marché en Europe ont pointé des irrégularités dans les études.

Mais ils n’ont pas été écoutés. La décision a été politique.

Un certain nombre d’informations n’ont pas été révélées au grand public, comme le fait que l’ADN pouvait être contaminé par l’injection.

À la suite de l’injection, c’est le corps qui se met à fabriquer le principe actif, c’est-à-dire la protéine Spike.

Mais on ne sait pas combien de protéines Spike les vaccinés vont produire.

C’est pour cela que les dosages de protéines Spike peuvent être utiles.

La Spike est, par ailleurs, transmissible aux bébés !

Mais la protéine Spike n’est pas le seul problème lié à ces produits.

Les nanoparticules vectrices de l’ARN du vaccin sont toxiques également. Elles vont partout dans le corps, mais en priorité dans les ovaires, ce qui expliquerait les nombreux problèmes de règles liés à la vaccination chez les femmes.

Dr Louis Fouché

Louis Fouché a achevé cette table ronde.

Il a confirmé que des chercheurs de l’université de Yale avaient décelé la présence de la protéine Spike chez certains patients au-delà des 700 jours suivant l’injection.

Il explique que cette protéine est pro-thrombotique : elle favorise la formation de caillots dans les artères, elle est aussi pro-inflammatoire et ubiquitaire (cela veut dire qu’elle diffuse dans TOUS les organes).

Elle peut agir dans différents endroits du corps à la fois.

Les chercheurs se demandent pourquoi cette protéine Spike est si persistante. Ils ont constaté que ce phénomène existe pour le Covid long comme pour la vaccination.

Il serait dû à une réaction immunitaire qui se prolonge dans le temps.

Alain Maupas

Cet homme parle pour l’association AAVIC. C’est le papa d’une patiente décédée, Mélanie.

Pour lui, il n’y a aucun doute que l’injection a tué sa fille, qui était en parfaite santé, même si les neurologues n’ont jamais voulu l’affirmer.

Il insiste sur le fait que, dans son association, il y a de nombreuses personnes atteintes de la maladie de Charcot. Cette maladie, autrefois rarissime, a augmenté de 21 % en 2021/2022 et de 22 % encore l’année d’après.

Cela ne peut venir que de la campagne de vaccination.

Il explique qu’il n’en veut même pas au médecin qui a fait l’injection. Mais il exhorte les médecins à ouvrir les yeux, à réagir.

S’adressant aux médecins, il lance : “Vous êtes en train de tuer votre peuple, le peuple français.”

Matthieu Dubois

Il  intervient également au nom de l’association AAVIC.

Il explique que, sur le terrain : “C’est un carnage.”

Pour lui, les gens ont été sacrifiés. Sur les 800 membres de l’association, il a 37 patients atteints de la maladie de Charcot.

Les patients ont des troubles neurologiques, visuels, auditifs, menstruels et gynécologiques.

Le résultat des campagnes de vaccination aura été catastrophique pour de nombreuses personnes.

Quand les autorités sanitaires vont-elles reconnaître cela ?

Quand va-t-on mettre un moratoire sur ces deux vaccins dangereux ?

Les autorités sanitaires vont-elles entendre ces appels ?

6 Comments

  • Reibel dit :

    Bonsoir,
    Bien que l’on me dise que non, je pense que la maladie que l’on ma trouvée récemment – ataxie proprioceptive – est liée aux 3 vaccins Pfizer/Moderna que j’ai subis il y a environ 2 ans… et non pas seulement due à lâge !!
    Merci pour vos informations..
    Evelyne Reibel

  • Kuffer dit :

    Merci pour votre vrai travail.
    vous avez beaucoup de courage.
    Meilleures pensées.
    Lucie Kuffer

  • Delvaux dit :

    Bonsoir,
    Je tiens à vous remercier personnellement pour ces informations qui confirment ce que je pense depuis longtemps. Mon mari a contracté une fibrose pulmonaire et un Parkinson l’an dernier (après 3 vaccinations) alors qu’il n’avait jamais rien eu. Le seul médicament qu’il a pris pendant des années étaient un Diclofenac car sa nuque le faisait trop souffrir (suite à un grave accident de voiture alors qu’il avait 25 ans), et un ou deux afebril en cas de syndrome grippal. C’est vous dire si j’adhère entièrement à vos propos et vos conclusions sur la vaccination abusive et honteuse contre ce Covid 19.

    Bien que j’habite en Belgique, je suivrai vos informations aussi souvent que possible.

    Nicole Delvaux

  • Claude dit :

    Je tiens tout d’abord à remercier le ou les rédacteurs de cet article et dire toute mon admiration à celles et ceux qui, contre vents et marées, font éclater la vérité sur les conséquences, parfois dramatiques, survenues lors de la campagne d’injections ARNm.

    Je me permets de recommander aux lecteurs de regarder cette vidéo passionnante : —
    Idriss Berkane et Nicolas Hulscher :  » Les complotistes avaient (encore) raison : l’ARNm n’est jamais resté dans le bras. »

    https://www.youtube.com/watch?v=EH03v1Oy2b8&list=TLPQMjEwNTIwMjWWZnZd9ZuYmQ&index=7

  • DEFLINE dit :

    Bonjour,oui ce faux vaccin a tué et tue toujours, mon frère de 58 ans en est mort à moto retrouvé 3 jours plus tard dans le ravin en Ardèche ( journal du 3 ou 4 Juin 2021 ) pas de traces de freinage , il était sportif, ne fumer pas , ne buvait pas, chaque matin il courait, faisait 10 pompes avant et après avoir couru, très sportif, un bel homme jamais malade !
    une cousine morte d’un cancer rapide des parties génitales , une belle soeur elle lutte en ce moment du même cancer
    des amis avec des maladies inconnues,
    heureusement j’ ai la copie de ce que Attali et Mitterand avaient publié en 1981 sur l’intention de ce génocide car nous étions trop nombreux sur terre
    avec la diffusion d’une pandémie , seuls les imbéciles se ferons vacciner et iront d’eux même au casse pipe
    j’ai la copie , aux Docteurs qui voulait me piquer je leur montrais la copie , certains en on fait une copie !
    ps en Français S.V.P si vous voulez la copie sur E.MAIL salutation

  • Dorin dit :

    il est parfaitement évident que la vaccin n’a fait que rapporter énormément d’argent aux labos et notamment à Pfizer ! d’ailleurs , pour le trouver , ça a été la course à l’échalotte , le 1er qui trouvait quelque chose , en fait n’importe quoi , remplissait les caisses ! avec l’aval des politiques , ça va sans dire !!!!!!!!!!

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