AIMSIB : un 10e congrès réussi ! 

C’est fait. Le 10ᵉ congrès de l’AIMSIB a eu lieu. Et cette édition anniversaire a été un succès.

Près de 300 adhérents ou sympathisants de l’association se sont réunis toute une journée pour écouter des conférences et vivre des temps de convivialité ensemble, dont — il faut le dire — un excellent déjeuner.

Deux cents personnes ont également suivi l’événement en visio.

Les conférences devraient être disponibles en replay vidéo d’ici quelques semaines pour tous les adhérents. Vous pouvez devenir adhérent ici.

Le thème de ce congrès était :

“Lumière sur les mensonges et les manipulations en matière de santé”

Et voici, dans les grandes lignes, ce qu’il en est ressorti :

1/ Il existe des remèdes oubliés, interdits ou encore inconnus en France

Ainsi,

• Le Dr Éric Ménat a rappelé l’importance des travaux de Jean Solomidès, de Mirko Beljanski et de Pierre Tubéry. Chacun de ces chercheurs a proposé des solutions utiles dans l’accompagnement du cancer, que les médecins informés peuvent envisager pour leurs patients. 

Il a également mentionné:

•  la vitamine B17, 
• la micro-immunothérapie, 
• l’approche métabolique (du Dr Laurent Schwartz)
• et le régime cétogène. 

Ces thérapies complémentaires pourraient être davantage étudiées, surtout au regard des témoignages de personnes qui semblent en avoir très positivement bénéficié 

• Le Dr Pierre Kory, venu spécialement des États-Unis, a expliqué comment il utilise le DMSO (ou diméthylsulfoxyde) dans sa pratique médicale quotidienne, notamment pour :

• traiter les AVC, car il apporte de l’oxygène au cerveau à un moment critique ;
• apaiser la douleur ;
• lutter contre les infections (notamment avec les antibiotiques) ;
• et même accompagner le cancer en complément des traitements classiques.

Il a également parlé du dioxyde de chlore (CDS) dont il sert notamment contre les infections. 

L’intervention de Pierre Kory a fait l’objet d’un article dédié de Mary Beth Pfeiffer, une journaliste américaine présente au congrès. 

Vous le retrouverez en intégralité ici (en anglais).

• Le Dr Vincent Reliquet a détaillé les mérites du chlorure de magnésium en présentant une rétrospective historique. Il a notamment passé en revue les travaux des Drs Delbet, Fumeron et Neveu. Ces médecins soignaient notamment la poliomyélite et la diphtérie avec le chlorure de magnésium.

Et le magnésium est un minéral extrêmement utile à l’organisme. Il intervient dans plus de 300 fonctions. Il permet de renforcer le moral, la concentration, la cognition et même l’immunité.

2/ Les conflits d’intérêts minent le monde de la santé

Hélène Banoun, biologiste et ancienne chercheuse à l’INSERM, a présenté l’état de la science par rapport aux virus :

• du Covid,
• de la grippe,
• du VRS (le virus respiratoire syncytial),
• de la varicelle-zona,
• et de la dermatose nodulaire chez les vaches.

Elle a précisé qu’il se passe, à l’heure actuelle, un bras de fer politique historique aux États-Unis entre le ministre de la Santé, Robert Junior Kennedy, et les laboratoires pharmaceutiques.

L’enjeu de ces débats est notamment de faire comprendre au grand public les vrais résultats des données scientifiques liées à la vaccination, qui sont souvent occultées dans les médias et même dans les revues scientifiques.

Les données sont là, mais les interprétations que l’on en fait sont toujours favorables à la vaccination. 

Pourtant, certaines études sont très claires. Ainsi, une étude a montré qu’en République tchèque, les femmes ayant été vaccinées contre le Covid avaient davantage d’enfants morts-nés que celles qui ne l’étaient pas.

Le Pr Gilles-Éric Séralini et son co-auteur, Jérôme Douzelet, chef cuisinier et co-enquêteur dans l’affaire des Monsanto Papers, ont relaté leur combat de titan pour aider la justice américaine à faire condamner l’entreprise Monsanto-Bayer dans divers procès retentissants. 

Le plus connu est l’affaire du jardinier Dwayne Johnson, qui a déclaré un lymphome après avoir utilisé du glyphosate tout au long de sa carrière.

Les fameux Monsanto Papers sont les documents internes de l’entreprise que la justice américaine a réclamés. Ce sont des mails, des notices internes, des études, etc.

Ces documents apportent la preuve que Monsanto savait que ses produits étaient nocifs pour l’environnement et pour la santé, et que l’entreprise a tout fait pour le cacher et semer le doute au sein de la communauté scientifique.

Le nom de Gilles-Éric Séralini y apparaît plus de 50 000 fois ! Ils sont allés jusqu’à payer des rédacteurs pour falsifier régulièrement sa fiche Wikipédia…

C’est dire si l’entreprise prenait au sérieux ses travaux !

Carole Fouché, biologiste et chercheuse, a exposé le fruit de ses recherches sur les vaccins à ARNm et rappelé que ces injections sont bien loin d’être anodines. Sa présentation de haut vol est un rappel pour tous de la nécessité de conserver un consentement libre et éclairé pour tous les patients.

Enfin, Corinne Lalo, journaliste d’investigation, est revenue sur l’épidémie de Covid-19 et sa gestion par les gouvernements, les autorités sanitaires et même les autorités militaires, comme la DARPA.

Cette agence du ministère de la Défense américain suit de près toutes les avancées technologiques dans le domaine militaire (et de la santé).

Corinne Lalo a mis en lumière les rôles exercés par des personnalités phares de la crise sanitaire telles que :

• Bill Gates et sa Fondation Bill et Melinda Gates, financée par l’industrie pharmaceutique ;
• Anthony Fauci, directeur du NIH, l’Institut national de la santé américain ;
• Shi Zhengli, directrice de l’Institut de virologie de Wuhan ;
• Peter Daszak, de l’EcoHealth Alliance, financée par le NIH ;
• Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur de l’OMS, dont le premier financeur est la Fondation Bill et Melinda Gates ;
• Klaus Schwab, fondateur et directeur du Forum économique mondial au moment de la crise du Covid.

Toutes ces personnes travaillent ensemble depuis longtemps.

En s’appuyant sur des partenariats publics/privés, elles sont parvenues à prendre la main discrètement sur des institutions qui, dans l’imaginaire collectif, demeurent publiques.

Ainsi, l’OMS ou les autorités de santé américaines, durant la crise du Covid, n’ont apparemment pas été des organismes publics œuvrant uniquement pour le bien commun
Au contraire, ces institutions sont devenues des outils de contrôle des gouvernements et des populations qu’ils administrent, grâce à un subtil jeu d’influence qui s’est construit sur près de trente ans.

3/ De nombreux thérapeutes et citoyens sont disposés à changer la donne

Le congrès s’est achevé sur une table ronde animée par le Dr Louis Fouché. 

Les différents intervenants ont, malgré tout, exprimé une certaine confiance dans l’avenir.

Car s’il existe une collusion d’intérêts au plus haut niveau de l’État aux États-Unis, toutes les institutions ne sont pas corrompues.

Une partie des fonctionnaires, des juges, des médecins, des thérapeutes, des juristes, des médias et des citoyens veulent en finir avec la mainmise de l’État profond américain.

Il y a une volonté de passer à autre chose et de réenchanter le monde.

Chacun des intervenants présents au congrès AIMSIB se bat au quotidien pour que le monde dans lequel nous vivons soit plus libre.

Au-delà des mensonges qui ont été dénoncés, tous ont envie de construire un monde plus juste et plus humain.

C’est le cas, par exemple, de Jérôme Douzelet, qui est en train de monter un grand centre d’équithérapie en Aquitaine.

Ce travail remarquable se fait avec le soutien des autorités locales.

Partout, les initiatives se multiplient pour améliorer l’état du monde.

Il en a besoin. Il y a du travail.

Mais les orateurs du congrès AIMSIB ont répondu présent, et les participants aussi.

C’est tout de même rassurant pour l’avenir.