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Les 18 et 19 octobre dernier, je me suis rendu à un congrès de santé intégrative organisé par l’association Reev (Renouveau de l’être et élan de vie)

Cette association s’est donné deux grandes missions : 

  • l’éducation à la santé 
  • et l’accompagnement des patients. 

Les membres de l’association ont prévu d’ouvrir, en 2026, un centre de médecine intégrative proche de Toulouse. 

Des thérapeutes de différentes disciplines seront réunis en ce lieu. Ils pourront accompagner les patients atteints de troubles chroniques.

Entrez et soyez les bienvenus !  

J’ai été impressionné par le nombre de bénévoles présents : il y en avait plus d’une quarantaine. 

J’ai aussi été frappé par l’entente harmonieuse entre les membres du Reev. 

Je me suis demandé si cela était lié au fait que toutes ces personnes s’étaient serrées les coudes au moment de la crise sanitaire pendant laquelle le projet Reev est né. 

Peut-être était-ce dû au mode de gouvernance partagé de l’association, qui, d’emblée, a intégré divers groupes de travail, dont l’un est consacré à l’éthique et à la résolution des conflits.

À moins que cela n’ait été dû à la saine ambition du projet, qui veut s’installer dans la durée avec son nouveau centre de soins… 

Quelle qu’ait été leur motivation, ces bénévoles ont offert un accueil très chaleureux aux participants et aux intervenants. 

Cela a été souligné tout au long du congrès. Et c’est peut-être la première marque de ce qu’est la santé intégrative. 

Il s’agit, avant toute chose, d’entrer en relation les uns avec les autres. Une thérapie efficace commence par là. 

Un combat pour la vie 

Le premier orateur à avoir pris la parole est le Dr Jean-Loup Mouysset. Cet oncologue a créé, il y a plus de 25 ans, le Centre Ressources d’Aix-en-Provence

Les malades y reçoivent des soins classiques, ciblés et personnalisés ainsi que des soins complémentaires. 

Toutefois, lors de sa conférence, Jean-Loup Mouysset, avant de parler du type de soins administrés, évoque la nature du combat qui se joue pour le patient et les thérapeutes. 

Le cancer est une maladie existentielle. C’est un traumatisme pour le patient, qui remet en cause son mode de vie et sa vie. 

La réponse thérapeutique doit donc être de nature existentielle. Puisqu’il s’agit d’un combat pour la vie, le patient doit avoir envie de vivre. Il doit savoir pourquoi il vit. 

Et c’est aussi aux thérapeutes et aux aidants d’accompagner le patient dans cette quête. 

C’est aussi pour cela que la première chose à faire, lorsqu’une personne est diagnostiquée d’un cancer, c’est de la sortir de tout isolement.

Hélas, ce n’est pas si facile. 

Les patients sont souvent très seuls dans leur vie. 

Le meilleur des traitements classiques et des traitements complémentaires 

Jean-Loup Mouysset prend exemple sur des médecins américains qui avaient compris avant tout le monde, l’intérêt de soigner le cancer et les autres maladies multifactorielles avec une stratégie thérapeutique complète. 

Puisque les causes de la maladie sont multiples, les thérapeutes vont l’accompagner avec des solutions multiples. 

Les premiers travaux scientifiques publiés dans ce domaine datent des années 1980 ! 

L’OMS a confirmé ces travaux : cela fait plus de 40 ans que l’efficacité des soins combinés est avérée !

Si la médecine intégrative n’est pas en vigueur partout, si certains oncologues résistent encore à cette idée, ce n’est pas faute de preuves

C’est qu’ils refusent d’adopter ce nouveau logiciel qui s’éloigne de leurs habitudes ou de leurs certitudes. 

L’un des avantages des traitements complémentaires, selon Jean-Loup Mouysset, est qu’ils permettent aux patients de mieux résister aux traitements classiques. 

Ainsi lorsque cela s’avère nécessaire, ces patients peuvent recevoir plus de chimiothérapie ou pendant plus longtemps

L’importance des groupes de patients 

Jean-Loup Mouysset rappelle que qu’il existe plusieurs dimensions au cancer : 

  • corporelle et notamment la fatigue qui peut-être d’emblée épuisante notamment à cause du stress subi par les patients  ;
  • sociale ;
  • psychologique ;
  • émotionnelle

Il faut répondre à toutes ces dimensions avec pour objectif d’améliorer le bien-être du patient avant même de s’en prendre à la maladie. 

C’est un aspect essentiel pour favoriser une rémission durable quand la personne parvient à sortir de la maladie.  

Dans cette perspective, la constitution de groupe de patients peut être très positive. 

Ainsi, les malades ne sont pas seuls et ils peuvent apprendre ensemble à développer certaines compétences comme l’auto-hypnose, la méditation ou des exercices de respiration. 

En revanche, ces groupes doivent être guidés par un thérapeute qui s’assure du bien-être de chacun et des progrès de tous au sein du groupe. 

Dans sa deuxième conférence, Jean-Loup Mouysset a abordé un sujet plus technique : la question des interactions possibles entre les traitements classiques et les solutions complémentaires. 

Vous pourrez retrouver l’intégralité de son propos dans les clés USB que propose l’association REEV au public. 

Elles peuvent être commandées pour un prix très raisonnable directement sur le site de l’association. Pour cela, rendez-vous ici. 

Différentes approches complémentaires pour accompagner le cancer 

Le congrès ayant duré deux jours, de très nombreux autres sujets ont été couverts. Je ne peux entrer dans le détail de l’ensemble des conférences. 

Voici un aperçu de ce qui a été dit lors de cet événement.  

D’où vient le cancer ? 

Le Dr Éléonore Djikeussi, oncologue intégrative, précise que le cancer n’est pas d’origine génétique, comme certains médecins ont pu le penser il y a quelques années. 

Le problème ne vient pas du noyau de la cellule, qui renferme le matériel génétique. 

Il vient plutôt des mitochondries, les usines à énergie des cellules, qui peuvent se mettre à dysfonctionner. 

L’enjeu, en prévention, consiste donc à préserver cet équilibre mitochondrial. 

Au niveau curatif, le thérapeute doit chercher à rétablir cette harmonie cellulaire et mitochondrial.

Peut-on passer à côté de l’homéopathie dans l’accompagnement du cancer ? 

Le Dr Jean-Louis Bagot souligne l’intérêt de l’homéopathie dans le suivi des patients atteints de cancer. 

Il exerce son activité au sein d’un centre de soins intégratifs à Strasbourg où, tous les jours, les soignants partagent des déjeuners thérapeutiques avec les patients. 

Sa pratique est encadrée par des recommandations de bonnes pratiques (SHISSO). 

Ces remèdes n’ont aucun effet secondaire. 

En revanche, leurs effets positifs ont été documentés dans diverses études que tout médecin de bonne volonté peut trouver aisément sur les moteurs de recherche scientifiques. (Voir notamment Frass et al., 2015 et Frass et al. 2020).  

Pour chaque patient, il existe en général un remède plus adapté que les autres. 

Par exemple, Nux vomica ou Phosphorus sont souvent prescrits pour améliorer la tolérance aux effets secondaires de la chimio. Mais ce ne sont pas les seuls à être utiles. 

Une homéopathie bien prescrite permet d’améliorer la qualité de vie du patient

Cela peut avoir une incidence positive sur le taux de survie. 

Soins de supports et hospitalisation de jour : un cadre adapté pour la santé intégrative en oncologie 

Véronique Lacroux est masseuse-kinésithérapeute, formée en hypnose ericksonienne, et Nathalie Crombez est ostéopathe. 

Toutes les deux apportent des soins de support au sein d’une unité spécialisée de l’hôpital Joseph-Ducuing de Toulouse. Cette unité s’appelle la Parenthèse. 

Au départ, l’unité ne comptait que quatre praticiens. Ils sont quatorze aujourd’hui. Les patients viennent pour la demi-journée. 

Chacun d’entre eux peut voir jusqu’à cinq soignants et recevoir des soins de support personnalisés. 

Comment sortir de la culpabilité ? 

Sophie Lantheaume est psycho-oncologue. Comme Jean-Loup Mouysset, elle insiste sur la rupture que représente l’annonce du cancer dans le continuum de vie. 

Une autre vie commence à ce moment-là pour les patients. Et il faut l’accompagner. 

C’est une expérience de vie où la personne fait l’expérience de sa vulnérabilité.

Le temps et l’espace sont redéfinis pour le patient et les aidants

Chacun doit revoir ses priorités. 

C’est un tremblement de terre. Les soignants doivent prendre cela en compte, pour le patient et aussi pour eux-mêmes. 

Sophie Lantheaume rappelle que 63 % des oncologues seniors sont épuisés et que les aidants peuvent être anxieux et déprimés à l’annonce du diagnostic ou durant l’accompagnement du malade.  

Cet espace de vulnérabilité partagé est aussi le lieu où ces trois humanités se rencontrent. 

L’intérêt d’une approche intégrative est qu’elle apporte du soutien, de la compétence et de la sérénité pour tout le monde. 

Alimentation anti-cancer, mode d’emploi 

Le Dr Éric Ménat ouvre son propos avec quelques chiffres.

En 30 ans, le cancer a augmenté de 80 %.

C’est la première cause de décès précoce.

Cela est d’autant plus regrettable qu’il dépend en grande partie de facteurs environnementaux et du mode de vie.

Les quatre facteurs de risque les plus importants sont :

  • le tabac,
  • l’alcool,
  • l’alimentation ultra-transformée,
  • et le surpoids.

Il y a autant de risques liés à l’obésité qu’au tabac.

Le Dr Ménat insiste sur l’utilité des cuissons douces, notamment à la vapeur.

Ces cuissons à moins de 100 °C évitent la transformation des aliments et l’apparition de substances cancérigènes comme les hydrocarbures polycycliques, les acrylamides ou les produits de Maillard.

Ainsi, les grillades et les fritures au quotidien peuvent avoir un effet délétère sur la santé. Il en est de même pour la biscuiterie, qui est chauffée à très haute température (400 °C).

Les biscuits contiennent, en outre, de l’huile de palme ou de tournesol transformées, dont les effets sont néfastes pour le corps.

Il ajoute cependant que le fait de participer à un barbecue de temps en temps ou de prendre un croissant au petit déjeuner à l’occasion d’un congrès de santé intégrative n’est pas interdit !

Côté lipides, il défend le poulet, sauf la peau qui se carbonise à la cuisson et accumule des toxiques : il faut l’enlever. La viande de porc, issue des filières de qualité, est utile à la santé.

Il insiste enfin sur le sucre, qui reste l’ennemi n° 1 pour les patients. Les aliments à index glycémique élevé, comme le pain blanc, les confitures ou les sodas, sont également à éviter.

Le Dr Ménat conclut en rappelant qu’il existe aussi d’excellents aliments contre le cancer, comme tous les végétaux qui contiennent des flavonoïdes qui sont , selon lui, les « vrais » antioxydants.

Ce sont les plantes à tisanes, les baies et le thé vert.

Enfin, les petits poissons gras, comme les sardines, sont excellents pour apporter des omégas-3 qui viennent compléter les omégas-6. Le bon ratio est de 1 pour 4.

Mais l’alimentation moderne contient souvent trop d’omégas 6 qui viennent du maïs, du tournesol et du soja. Ces végétaux constituent la base de l’alimentation industrielle ou de l’alimentation animale. 

Comment dépolluer son environnement ? 

Corinne Lalo, journaliste d’investigation, présente son enquête sur les perturbateurs endocriniens, à laquelle elle a consacré un livre très complet.

Elle rappelle que les perturbateurs endocriniens sont des substances dérivées du pétrole, utilisées dans de très nombreux domaines du quotidien.

Ce sont, par exemple :

  • les pesticides, dont les champs sont régulièrement arrosés ;
  • les plastiques, mous ou durs, qui servent dans les emballages (extérieurs et intérieurs) ;
  • les phtalates, qui font partie des plastiques, et que l’on trouve dans les aliments industriels, les cosmétiques, les produits d’entretien ménagers, les peintures, etc. ;
  • les perfluorés, qui associent du pétrole et du fluor pour des produits très résistants comme les poêles en téflon (privilégiez l’inox !) ;
  • les polybromés, qui servent à faire des retardateurs de flammes ;
  • les produits pharmaceutiques, qui peuvent être toxiques.

Corinne Lalo recommande à ses auditeurs et lecteurs de :

  • remplacer le plastique par du verre, là où c’est possible : bouilloire, biberon, récipients alimentaires, etc. ;
  • choisir des savons solides plutôt que liquides : ces derniers sont susceptibles de contenir des perturbateurs endocriniens ;
  • éviter les boîtes de conserve et leur préférer des bocaux ;
  • surveiller les ingrédients présents dans les cosmétiques.

Elle rappelle que dans les plastiques, on trouve souvent du benzène qui est un produit toxique présent dans le goudron, qu’il est préférable d’éviter ! 

Les 6 dimensions de l’être 

À la suite de cet exposé magistral, mais inquiétant, Clara Naudi, psychiatre, est venue apporter une autre dimension à ce congrès.

Sa thématique, réconcilier les thérapies, rejoint l’introduction de Jean-Loup Mouysset.

En effet, pour Clara Naudi, l’être humain est constitué de six niveaux :

  • structurel : ce sont ses muscles, ses os et ses fascias ;
  • biochimique : qui maintient le corps en vie ;
  • biophysique : qui est son enveloppe électromagnétique ;
  • énergétique : ce sont les méridiens, les centres énergétiques et les vecteurs énergétiques, qui sont si importants pour la médecine traditionnelle chinoise et l’acupuncture en particulier ;
  • systémique : qui englobe l’environnement au sein duquel vit la personne ; cela prend en compte ses relations avec les différents systèmes qui l’entourent, à commencer par ses proches et ses relations humaines, mais aussi la nature et les êtres vivants à sa portée ;
  • spirituel, enfin : il s’agit de l’étincelle divine qui vit des expériences sur terre et permet à chaque personne de découvrir sa vraie nature.

Pour Clara Naudi, tout l’enjeu de la médecine est d’être capable de soigner l’être humain sur ces six niveaux.

Cela suppose, de la part du thérapeute, de nombreuses qualités humaines, à commencer par la patience, la générosité et l’humilité. Hippocrate dit la même chose dans son fameux serment !

Cachez ces guérisons miraculeuses que je ne saurais voir…

Le Dr Yann Tiberghien a présenté trois cas de patients atteints de cancer et ayant guéri de manière exceptionnelle et inattendue.

Ce sont des miraculés ; l’un d’entre eux l’a été au cours d’une visite du sanctuaire de Lourdes, dont le Dr Tiberghien est l’un des médecins référents.

Ce médecin pas tout à fait comme les autres a décidé, lors de sa thèse de médecine, d’étudier spécifiquement des cas de guérisons inexplicables.

Il a trouvé onze cas de guérisons miraculeuses au sein des archives classées (et interdites au public) de différents hôpitaux d’Europe, qui ne souffraient aucune discussion.

La médecine sait que ces personnes ont été guéries de manière inexpliquée.

Ces cas sont très rares, mais ils rappellent que la guérison, même improbable, reste toujours possible.

Entre ces différents patients, le point commun est qu’ils ont tous trouvé une raison spécifique et personnelle à leur maladie et qu’ils l’ont dépassée.

Ainsi, l’une des patientes a pu dire : « Je n’ai pas guéri de mon cancer, mais mon cancer m’a guérie. »

La force est en vous !

Le Dr Olivier Abossolo a conclu magistralement ce beau congrès en abordant le thème de l’auto-guérison. 

Il explique que les thérapeutes sont là pour aider les patients à guérir.  

La guérison elle-même vient de la force de vie du patient. C’est elle que le thérapeute va solliciter. 

C’est sur elle que les thérapeutes traditionnels philippins comptent pour guider le patient. 

In fine, cette force de vie est présente chez tout le monde.

Il y a peut-être plus de vie en vous que vous ne l’imaginez. C’est là aussi un message d’espoir immense. e vous ne l’imaginez. C’est là aussi un message d’espoir immense. 

Si vous souhaitez soutenir l’association Reev, rendez-vous ici.

Références

(1) https://www.associationreev.com/

10 commentaires

  • Dominique Charles dit :

    Je modère mon précédent commentaire, injustement sévère, qui n’a aucune raison d’être.
    D. C.

  • Fatima dit :

    Bravo pour ce congrès chaleureux et plein d’espoir !!!
    Merci à la fondation pour son soutien et son engagement pour une meilleur version de la santé 🙂🍀

  • Delabarre dit :

    J’ai beaucoup aimé le résumé que j’ai reçu par mail, d’Augustin de Livois, et je partage. Sans faire l’historique, voici un résumé de mon histoire suivi d’un commentaire perso.

    Cancer de la prostate, stade 4, métastases un peu partout, lésion de la moelle épinière en deux endroits par 2 tumeurs. Les urgences, puis 3 opérations pour retirer les tumeurs et peut-être éviter une paraplégie définitive. PSA > 1000. Après l’opération, je suis paraplégique, personne ne sait ce qu’il adviendra. Ce fut un choc moral très important.

    Ce qui importe, lorsque l’on est atteint de paraplégie et de cancer, ce sont ces 4 points : détermination, efforts, esprit positif et la motivation qui donne de la force. J’ai pu encourager beaucoup de patients à la clinique et ça marche, ma kiné disait que j’étais son meilleur représentant. Si on n’a pas le moral, le mental, si on est dépressif, selon ce que j’ai pu voir on n’y arrive pas.

    Complément
    J’ai eu la chimio, la radio, l’hormono, et mon taux de PSA a considérablement diminué puisque je suis arrivé à 5. Peut-être trop vite car mon oncologue m’a demandé si je prenais des compléments alimentaires, ce qui était le cas avec une nourriture adaptée. Puis j’ai utilisé deux autres méthodes électroniques, le matériel le plus performant reste le meta hunter 4025 NLS où l’on voit qu’effectivement au niveau des mitochondries ça déraille un peu. Pas fait pour le cancer mais pour scanner tous les organes et améliorer leur fonctionnement.

    Si je peux résumer, c’est ce que l’on a dans le mental qui fait que l’on progresse, et juste un exemple : un esprit positif et un peu d’humour fera que l’on respirera davantage d’oxygène. Et c’est pourquoi il vous faudra probablement un entourage adapté. Adoptez-le.

    Et pour finir. 13 mois après mon opération je marche, pas parfaitement, mais je marche et je peux conduire. Donc courage et surtout que votre mental soit fort. Comme l’a dit mon oncologue, la thérapie c’est bien, l’entourage c’est excellent, mais la majorité du travail c’est vous qui allez le faire parce que vous avez acquis ce mental.
    Bien à vous, Dominique DELABARRE

  • Tryntje dit :

    Merci Augustin de Livois pour ce résumé clair et informatif ! Ce n’est pas facile de faire une synthèse d’un congrès si riche. Vous avez fait cela de main de maître. Ce n’est pas juste une reprise des titres des exposés avec le nom des orateurs mais l’essentiel que vous nous transmettez.

  • Baudin dit :

    Merci pour ce compte rendu très intéressant. Une preuve de plus pour considérer que la médecine dite moderne (initiée par Rockefeller et Carnegie début 1900) n’est pas une voie unique pour notre santé. Il faudrait que cela se sache davantage pour le bien de tous. Défi majeur quand on sait que les 100 premiers lobbies à Bruxelles (labos et industries chimiques) dépensent 400 000€ par député européen par an pour leur business.

  • Dominique Charles dit :

    Bonjour,
    J’apprécie le contenu de vos messages qui montre chez certains le désir de faire évoluer l’abord de la thérapeutique vers un concept plus intelligent, plus synthétique. Ce qui, par certains côtés, rappelle la vision aiguë du médecin de famille d’autrefois, ce généraliste avisé, capable de voir l’ensemble plutôt que de chercher le symptôme qui va lui permettre de passer la patate chaude au spécialiste.
    Par contre, je suis très gêné par vos fautes d’orthographe. C’est inadmissible dans un contexte tel que celui-ci, et c’est une sorte de désinvolture vis-à-vis du lecteur, sans compter le doute que cela laisse présager sur votre culture.
    Faites un effort, l’orthographe, ça s’apprend habituellement à l’école élémentaire, sous êtes sûrement capable de l’apprendre aujourd’hui.

  • DELENAT dit :

    En relatant cette affirmation : « Il insiste enfin sur le sucre, qui reste l’ennemi n°1 du cancer » ne commettez-vous pas un contresens ?
    J’ai très souvent lu que les sucres (glucose) alimentaient les cellules cancéreuses.
    Dans ce cas, merci de rectifier.

    • Augustin dit :

      Merci pour votre lecture. Je comprends l’ambiguïté. Nous allons changer la phrase. Le sucre est en effet favorable au développement du cancer. C’est donc l’ennemi du malade plus que du cancer lui-même.

    • Marie-Chantal dit :

      Sucre : ennemi, N° 1 du cancer ! où voyez-vous un contre-sens ?
      Si le sucre alimente les cellules cancéreuses , elles vont se développer , or ce n’est surtout pas ce qui est souhaitable n’est ce pas ?
      Donc , la phrase est correcte .😉

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